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30 mars 2006 4 30 /03 /mars /2006 15:53
Interné dans internet
 
Quand j’ai le cafard, d’être seul le soir
De gâcher ma vie, mes nuits, mes envies
Quand j’ai grand besoin , besoin de quelqu’un
Pour attendre demain, que vienne le matin
 
Refrain                             
 
J’ai la solution de facilité, je tourne un bouton
Je me mets près du clavier
Et je tape le 3w.SOS.com
Ces signes qui chassent l’ennui
Et sur eux je me repose
Ils me donnent comme par magie
Du bonheur en overdose
J’suis interné dans internet
 
Quand j’en ai assez de faire mon marché
Et que j’ai la flemme d’sortir d’HLM
Quand je veux jouer sans me fatiguer
Faire du sport en salle vaguement cérébral
 
Refrain                             
 
J’ai la solution de facilité, je tourne un bouton
Je me mets près du clavier
Et je tape le 3w.flemme.com
Ces signes qui chassent l’ennui
Et sur eux je me repose
Ils me donnent comme par magie
Du bonheur en overdose
J’suis interné dans internet
 
Il m’a fait une farce mon ami de glace
Le coup de la panne mon ami mon âme
Comment voir demain errant comme un chien
Perdu sans son maître, j’tremble de tout mon être
 
Refrain                             
 
J’ai plus d’solution de facilité, j’ai beau tourner l’ bouton
Et me mettre près du clavier
Et je tape le 3w.panique.com
Rien ne s’éclaire sur l’écran
A part un petit reflet, c’est tout simplement
 Un visage désemparé
 

 

J’connais la chanson

 
Couplet 1                                  
 
J’avais trouvé ma p’tite princesse
Un petit bonbon tout en tendresse
J’aurais pu faire la grève du zèle
Pour un rancard sous sa tonnelle
J’aurais pu faire même des heures supp’
Pour frôler les plis de ses jupes .
Mais elle rêvait d’cabine cruzer,
Pour bien respirer les grands airs,
Pour éviter une vie qui se brade.
Elle voulait des copains genre Brad,
Et se mettre du bleu à paupières
Sur les r’flets d’une Corvette bleu mer.
 
Refrain                                        
 
On m’a fermé la porte au nez
J’avais même pas trouvé la clé
Pas besoin de vous fatiguer,
A essayer de m’expliquer,
Pas besoin de tourner en rond...
...J’connais la chanson !
 
Couplet 2                                  
 
Moi, j’voulais sortir d’la normale,
Pas d’grandes écoles, juste marginal,
Pas r’ssembler au voisin qui t’juge,
En clair pas être pote à Panurge,
Genre Père Noël sous l’alizé
 Sans qu’ça perturbe le monde entier.
Fumer la journée sans tabac,
Faire des folies les jeudis gras
Mais on m’a regardé d’ travers
Comme au temps des brûleurs d’sorcières.
 Mis au ban de la société,
 Moi sur mon banc, de l’autre côté.          
 
Refrain
 
Couplet 3                                    
 
J’étais bardé d’supers diplômes
Solides un peu du style « peplum »,
Je pouvais entrer n’importe où
J’aurais le monde à mes genoux
Pour les uns, c’était pas assez,
Il fallait encore prospecter,
Pour les autres , trop de soleil versé
Sur leurs ombres en danger.
Poutant j’ voulais juste une p’tite place,
Et pas leur faire boire la tasse,
A quoi bon ces discours de folles
Que m’ont fait les maîtresses d’écoles    
 
Refrain
 
NB : autres possibilités :
 
-         Couplet 1 : Un petit bonbon tout en tendresse
    (ou une p’tite douceur toute en tendresse)
(ou A qui j’aurais tiré les tresses)
J’aurais pu faire la grève du zèle
Pour un rancard sous sa tonnelle
(ou pour un baiser sous sa tonnelle
ou pour arriver dessous ses ailes)
 
Mais elle rêvait d’cabine cruzer,
Pour bien respirer les grands airs,
(ou j’en avais pas dans mes déserts
 ou J’avais vendu l’dernier hier)
 
 
- Couplet 2 : Pas d’grandes écoles, juste marginal,
                     (ou juste être un brin marginal)
 
Faire des folies les jeudis gras
(ou se déguiser les jeudis gras)
 
Fumer la journée sans tabac,
Faire des folies les jeudis gras
(ou Faire sauter les crêpes en Juillet
Fête nationale en Février)
 
 
-         Couplet 3 :                            
 
Solides un peu du style « peplum »,
(ou costauds comme le Colyséum)
 

 

 

Insupportable
 
Y a celui qui dans l’hyper du quartier
Reste perplexe devant un paquet d’biscottes
Parce qu’il ne sait pas lequel acheter
Vu qu’il était pas sur sa petite note
Que faire sinon app’ler sa dulcinée
Pour résoudre ce problème insurmontable
Un coup d’fil même sans fil, y a qu’ça de vrai.
Dites-moi, qu’est-ce qu’on f’rait donc sans son portable ?
 
Refrain                                                      
 
Insup...portable
Ce remède qui agit mieux qu’un sup..
Portable ...
Fontaine je n’boirais pas de ton eau
Même portable...
La vie s’rait si belle sans cet objet de transes...
Portable
Et je les écraserai tous à votre insu..
Portable
 
Y a toutes celles qui s’évadent à tire d’ailes
Déambulent dans la rue pour changer d’air
Parce que c’est pas le pied la vie chez elle
Faut qu’elle dénoue la pelote de ses nerfs
Et c’est alors qu’un appel incongru
L’arrache au bon vent, comme un grain de sable
Vient stopper ses doux rêves d’îles inconnues
Elle aurait mieux fait de couper son portable
 
Refrain
 
Y a ces amoureux d’ la Saint Valentin
Assis là , tétanisés, tout heureux
Sans penser à hier ni même à demain
C’est beau (chaud), de les voir si beaux tous les deux .
Tout serait si bien dans l’ meilleur des mondes
Si lui n’avait pas toujours à l’ oreille
Cet objet qui sévit sur notre terre
Elle se demande bien qui est à l’appareil  ?
 
Refrain
 
La tolérance
 
(La tolérance,)
C’est fêter la réussite
De ses proches, de ses amis
Sans bâton de dynamite
Sans un brin de jalousie
C’est secourir son voisin
Qu’il soit français, maghrébin
C’est d’une grande banalité
Mais que j’aime à répéter
 
Refrain                                          
 
Oui, c’est ça la tolérance
Qui fait vivre en harmonie
Des quatre coins de France
Et même jusqu’à l’infini
 
(La tolérance),
C’est voir partir son enfant
Lorsqu’il est devenu grand
Sans amertume, sans rancoeur
Vers celui, celle de son coeur
C’est ne pas être homme sandwich
Porter des badges, des affiches
Sur la paix etcétéra
Et siffler ceux qu’en ont pas
 
Refrain
 
(La tolérance,)
C’est observer toutes les guerres
Eclatant tous les matins
Sans regarder ses frontières
Sans se dire que c’est trop loin
C’est ce qui manque aujourd’hui
Ce que tout le monde oublie
Du pôle Sud jusqu’au pôle Nord
Et de l’est à l’ouest encore
 
Refrain
 
Voisinage
 
Un matin, j’ai entendu chez les voisins du dessus
Des bruits pas très ordinaires, des cris et des bris de verre
Je suis monté en courant pour aller aider ces gens
Tout comme l’aurait fait un fils j’ai proposé mes services
 
Refrain                         
 
Mais qu’est-ce qui se passe ? Il y a eu de la casse ?
C’est la guerre déclarée ou le pays ravagé ?
 
Réponse              
(Non,) j’ai eu une panne de télé je pouvais plus rien capter
Que vais-je faire de la journée maint’nant que j’l’ai bouzillé ?
Ah Bon ! ? tout ça pour des riens
Alors je passe mon chemin.
 
Un beau jour j’ai entendu un tintamarre dans la rue
C’est les voisins d’à côté qui partaient pour pique-niquer
Alors je suis accouru pour me rendre compte de visu
Si c’était la fin des temps si j’en avais pour longtemps
 
Refrain +Réponse   ( Non,) il a cogné ma voiture il m’a fait une rayure
Et s’il ne paie pas, je l’ jure, j’ vais lui casser la figure
Ah Bon ! ? Tout ça pour des riens
Alors je passe mon chemin
 
Un beau soir j’ai entendou chez les voisins du dessous
Un peu comme un ouragan comme un coup de vent violent
Alors je suis descendu quatre à quatre à moitié nu
Surtout pour enfin savoir le fin mot de cette histoire
 
Refrain    + Réponse      
( Non) l’a eu zéro en dictée zéro en math c’est le pied
Et il peut toujours rêver pour que j’ lui sign’ son carnet
Ah bon ! ? tout ça pour des riens
Alors je passe mon chemin
 
Une nuit j’ai réuni mes voisins comme des amis
Pour leur parler de la guerre, du monde et de la misère
Alors ils m’ont répondu qu’leur télé ne marchait plus
Qu’leur voiture n’en pouvait plus qu’leur gosse les avait déçus
 
Refrain                      
Mais qu’est-ce qui se passe ? Ben, dans l’immeuble, y a une place,
Y a plus de guerre déclarée plus de pays ravagé
Maintenant j’ai déménagé je suis allé m’installer
Sur une île inhabitée bien loin de l’humanité
Et plus les nerfs pour des riens
Je suis seul dans mon destin.
 
J’suis parti
 
J’ suis du parti des oiseaux
Des bestioles de la forêt
Qui skatent la terre d’ bas en haut
Et qui vivent pour de la vraie
 
Si seul’ment j’pouvais voler
De mes propres ailes sans contrainte
Je pourrais à pleins poumons respirer
Pour un coup d’fouet mieux que l’absinthe
 
Comme y avait trop d’ « si »
J’ai pas pris la carte du parti
J’ai pris une carte et j’suis parti.
 
Je suis du parti des poissons
Qui nagent tous à donf les bielles
Des p’tits torrents aux lagons
Pour trouver des eaux plus belles
 
Si seul’ment je pouvais plonger
Dans la mer et les océans
J’lav’rais mes contrariétés
Je redeviendrais un enfant
 
Comme y avait trop d’ « si »
J’ai pas pris la carte du parti
J’ai pris une carte et j’suis parti.
 
J’ suis du parti d’la nature
Loin des hommes qui l’ont souillée
Bien loin des dépôts d’ordures
Des affres de la société.
 
Si seul’ment j’avais le temps
De regarder pousser les fleurs
Et d’arrêter le cours du temps
Je nagerais dans le bonheur
 
Comme y avait trop d’ « si »
J’ai pas pris la carte du parti
J’ai pris une carte et j’suis parti.
 
Mon fruit défendu
 
Aujourd’hui, je me suis bien baigné...
Aux pommes
Mais comme à l’homme je préfère l’a...
Nanas
J’ai pris la mer sur une coquille...
De noix
Chercher en vain l’âme soeur qu’elle soit blonde...
Ou prune
Même si pour ça, j’dois tomber dans...
Les pommes
Rien qu’dans voir une ça m’aurait mis...
La pêche
 
Refrain                                          
 
Ma vie est une vraie salade
De fruits
Tant que j’aurais pas trouvé
Mon fruit défendu
Qui me fera l’honneur de venir dans mon corbeille
Pour qu’on découvre ensemble des monts et des merveilles
 
Mais courage car il faut vivre...
D’espoir
J’aurais pu mettre des tonnes de...
Châtaignes
A tous ces gens qui me regardent...
En coin
Parce qu’ils me prennent pour un drôle de
Coco
C’est eux qu’ont tort et moi qui ai...
Raisin
Comme eux aussi sont seuls ensemble nous grom...
Melons
 
Refrain                                          
 
Ma vie est une vraie salade
De fruits
Tant que j’aurais pas trouvé
Mon fruit défendu
Qui me fera l’honneur de venir dans ma corbeille
Pour qu’on découvre ensemble des monts et des merveilles
 
A combien
 
A combien le premier dauphin
Si intelligent, si câlin
Vivant sa destinée à fond
Dans un océan pour maison ?
 
A combien le premier requin
Monstre impitoyable et malsain,
Qui d’un coup de dents acérées
Réduit votre vie de moitié ?
 
Refrain                                       
 
Qui ne s’est pas un jour demandé
Au milieu d’une mer déchaînée
Si c’est l’ bien qui nous tend la main
Ou le mal qui n’est pas très loin ?
A combien ?...
 
A combien la première douceur
Qui fera chavirer mon coeur
Me f’sant nager dans les eaux claires
 Illuminant mon univers ?
 
A combien le premier homme vil
Au beau milieu de la ville
Me faisant suivre des valeurs
Vers de sombres profondeurs ?
 
Refrain
 
Naufragé pas solitaire
 
Embarqué dans ma vie, je me suis échoué
Au beau milieu de parkings super-goudronnés
Entre des tours de verre et des buildings géants
C’est sûr que j’ressemblais à un tout p’tit enfant.
Un tout petit Poucet disparu corps et biens
Dans une forêt d’ béton, de bitume un matin
J’avais perdu toutes mes boussoles, tous mes repères
Les passants me regardaient toujours d’un drôle d’air
 
Dans les rumeurs de la ville
J’étais comme seul sur une île
 
Refrain                                     
 
Comme un naufragé pas solitaire
Pour deux sous
Celui qui s’est jeté dans la
Gueule du loup
Un naufragé qui laissait
Son radeau
Dériver vers des mondes
Pas très beaux
Alors j’ai mis les voiles...
Vers d’autres étoiles.
 
Embarqué dans ma vie, je me suis échoué
Sur la société que j’avais même pas cherché
Au milieu de requins affamés aux dents longues
De boxeurs frappant bien après le coup de gong
Rien à dire ni à faire avec cette faune-là
Avancer au hasard c’était pas fait pour moi.
J’avais tellement d’espoir dans le genre dit humain
Je souhaitais de l’amour, de la tendresse en vain.
 
Autour de ces gens futiles
J’étais comme seul sur une île   
 
Refrain
 
Sans le vouloir, on se construit, on se fabrique
Des barrières qui se ferment et de hauts murs de brique
On erre entre deux eaux sombres et polluées
Evitant comme on peut les récifs acérés
En cherchant à tout prix un moyen de survivre
Dans ces tempêtes et ces orages qui nous enivrent
Le souci principal est d’pouvoir accoster
Sur un p’tit bout de terre qui pourra nous sauver
 
On tombe sur face ou sur pile
On est comme seul sur une île     
 
Refrain
 

 

 

Tag, tag, tag..
 
Avec une bombe seulement de peinture
Faute de mieux, j’aime pas les blessures
A la société
Qui ne m’a pas gâté
Dans les gares en attendant demain
Je passe et repasse sur les rails
Où je vois partir tous les trains
Parce que ma vie peu à peu déraille
 
Refrain                                             
 
J’écris toute la journée,
J’ tague, tague, tague…
Ta gueule !
Mais, on n’aime pas quand tu…
Taggues, taggues, taggues…
Ta galère !
Elle est perdue d’avance,
Taggue, taggue, taggue
Ta guerre !
 
Sur les murs sombres des villes
Où tout le malheur est derrière
Où je suis du côté du futil
Du côté des nobles, des notaires
Dans les grands parkings souterrains
Où tout le bonheur est dessus
Je me suis fait un jardin
Le soleil, y a longtemps qu’je le vois plus
Dans les bouches malsaines du métro
Qui me parlent de la vie tout autour
Où au moins on reste bien au chaud
En attendant d’voir pointer l’jour
 
Refrain
 

 

 

Pas très cathodique
 
Vivement dimanche, c’est capital
C’est à prendre ou à laisser
Tu es mon envoyée spéciale
Même si bien sûr, faut pas rêver
Sans passer par la méthode Cauet
Je serais sans aucun doute
Si tu venais, follement gai
Peu importe combien ça coûte
 
Refrain                                                  
 
Même si tout ça
C’est pas très cathodique
J’suis si content qu’on s’retrouve
Qu’on s’retrouve…
Après la pub…
 
Jour après jour tu sera
Ma nouvelle star, zone interdite
Ça s’discute pas, ces choses-là
Tu s’ras en tête de tous les hits
Même si on peut pas plaire à tout l’monde
Je vais plus vite que la musique
C’est mon choix, c’est toi ma blonde
J’en suis malade, stade 2… critique
 
Refrain
 
N’est-ce pas un fabuleux destin
Depuis le temps, c’est pas trop tôt
Fabuleux destin que le mien
Mieux que gagner au loto
J’irais partout te retrouver
De ta maisonnette à Lhassa
J’irais partout te rechercher
Et même jusqu’à Ushuaïa
 
Refrain
 
Les gens ont le droit de savoir
Tout l’amour que j’ai pour toi
A part ceux qui veulent va savoir
T’éloigner, t’éloigner de moi.
 
Refrain
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
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